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The island of Crete

An island at the edge of Europe, Africa and the East

 

despite the hordes of tourists that it sees through the summer, once known as the island of the gods remains wild, surprisingly and quiet at several locations.

 

Majestic summits covered with snow (at least until June) which are going until the beautiful natural beaches virtually deserted through deep gorges, the valleys of olive groves and the small villages somnolants, this island is both beautiful and surprising.

 

Located in the Mediterranean Sea and swept by the winds coming from nearby Africa, she enjoys 360 days of sunshine a year.

 

This island is Crete!  Crete is the largest island of Greece, the most mountainous and probably the most unusual of all the Greek archipelago.

An island which is at the origin of the Minoan civilization (the first great European civilisation). An island where the inhabitants are first Cretan before even to be Greek. An island where people seem to live more...


 

Chania the beautiful Venetian

 

Always the first thing you hear about Chania - the Venetian Harbour, the old port, the narrow shopping streets and waterfront restaurants.


Chania is also one of the two places you are most likely to see on arriving in Crete.

 

It is beautiful - that is to say much of the Chania you will want to see is clustered close to the harbour - old buildings, museums, churches and crafts shops (some with genuinely interesting and sometimes local, products on offer).


Food is offered in great variety and sometimes great similarity - there are many restaurants and also cafes, at which to reflect upon the experiences of places you have just explored together with the enjoyment of some tasty food - we have suggestions for restaurants further on.


The atmosphere has a touch of Florence and Venice (a few years ago when those cities still had some room to walk), combined with the culture and character of Cretan people and traditions.


The Chania harbour is wonderful and at any particular time of day the light produces a different result, creating a "different place".


This is the best chance to see some of the old buildings - of Venetian and Turkish design, that Crete once had across the island - many have since been destroyed by the ravages of war and plunder.


Chania is surrounded by numerous rich options for sightseeing, exploration and discovery.

 

Mountain villages provide a view into the "inner Crete".

 

The Samaria and many other gorges can be hiked, archaeological sites abound.

 

La péninsule de Gramvousa

Cheveux au vent, au volant de notre belle petite jeep Suzuki décapotable, nous quittons Hania pour ce petit road trip tant attendu. Direction plein ouest. Après quelques kilomètres sur l'autoroute, nous poursuivons sur une petite route rocailleuse qui s'enfonce dans la péninsule de Gramvousa. D'un côté la montagne avec ses parois rocheuses, de l'autre la falaise qui tombe à pic dans la mer. Ici, les chèvres de montagne règnent en maître. Quelques-unes sont d'ailleurs un peu trop curieuses alors que nous déballons notre pique-nique ! Puis nous laissons la voiture et descendons à pied parmi les arbustes odorants et les fleurs sauvages pour rejoindre la splendide plage sauvage de Tigani.


 

Falasarna et Elafonisi


Falasarna, sur la côte ouest, est une autre belle et longue plage de sable. Totalement déserte, tout comme le petit hôtel où nous avons loué une chambre pour la nuit. L'endroit a d'ailleurs des allures de far west américain qui contrastent avec les vastes oliveraies et les nombreuses serres agricoles situées à proximité.

 

Au sud de Falasarna, la route en lacet grimpe à flanc de montagne. Les chèvres font place aux moutons. Encore des panoramas sublimes. Toujours avec la mer en toile de fond. Puis la route redescend vers Elafonisi, un petit paradis composé de criques sauvages et de plages de sable.


 

Routes champêtres

Rouler en décapotable sur ces routes peu achalandées est un véritable enchantement. Chaque virage nous révèle un nouveau point de vue, une nouvelle surprise. Il arrive même qu'un troupeau de moutons nous bloque la route de temps en temps. Tout au long de notre balade, les chants des oiseaux nous accompagnent, ainsi que tous ces parfums enivrants provenant du maquis. (Quand je pense que le romarin pousse ici comme une mauvaise herbe en bordure de la route...)

Nous traversons des villages qui semblent abandonnés... ou presque. Ici, une femme vêtue de noir qui marche à petits pas, une canne à la main. Et là, trois vieillards moustachus qui jouent aux cartes devant l'entrée d'un kafeneio (café traditionnellement réservé aux hommes). Triste réalité que celle de nombreux villages voués à disparaître. Ici comme ailleurs dans les îles grecques, le tourisme ne suffit plus à ralentir l'exode des jeunes, attirés par les grandes villes (en particulier Athènes).


 

Les gorges de Samaria


Nous reprenons la route. Vers l'est cette fois-ci. Nous passons par Paleochora avant de remonter vers Hania par les petites routes de montagne. À l'approche des montagnes Blanches, aux sommets de plus de 2000 mètres, il fait beaucoup plus frais. Puis nous traversons le village d'Omalos, célèbre pour être le point de départ des gorges de Samaria qui font le bonheur des randonneurs. Hélas, nous passons notre chemin. Ce sera mon seul regret de tout le voyage...

 


 

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